Programme International de Formation en Evaluation du Développement (PIFED)
Dans un monde en constante évolution, comment les organisations peuvent-elles être plus efficaces, plus équitables ou plus...
Le premier cycle a permis de traduire un discours théorique en termes concrets grâce à l’échange d’expériences entre participants. Le second cycle a bénéficié de la participation d’éminents orateurs extérieurs qui nous ont permis de tirer des leçons transversales à partir d’expériences pratiques. Le troisième cycle voudrait se tourner vers l’avenir et aborder, dès le départ, des discours politiques récents et importants, qui nous engagent au niveau mondial, européen et luxembourgeois, afin d’en analyser l’évaluabilité. Dans quelle mesure les signataires de ces engagements se sont-ils fixé des objectifs clairs et se sont-ils donné les moyens de suivre les résultats de ces politiques ?
Au 12 décembre 2015, 186 pays ont publié leur plan d'action au cours de l'année 2015 : chacun de ces plans détaille la façon dont les pays projettent de faire baisser leurs émissions de gaz à effet de serre. L'organisation des Nations unies en charge des changements climatiques a fait une évaluation de ces contributions le 1er novembre 2015 qui conclut que, malgré ces plans d'action, le réchauffement de la planète devait encore se situer entre 2,7 et 3 degrés, soit au-dessus du seuil de 2°C considéré comme critique par les scientifiques. L'Accord de Paris demande donc à chacun des pays d'afficher leur contribution à la réduction du réchauffement climatique à un niveau inférieur à 2°C et de revoir ces contributions tous les cinq ans à partir de 2020, sans pouvoir en faire baisser les objectifs. L'accord porte également sur des éléments de solidarité internationale permettant d'appuyer l'adaptation des pays les plus vulnérables aux effets du changement climatique.
Le neuvième atelier de l'évaluation a eu comme intervenants:
- Geneviève Hengen, Ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et européenne;
- Camille Palumbo, Ministère français des Affaires étrangères et du Développement international;
- Eric De Brabanter, Ministère luxembourgeois du Développement durable et des Infrastructures.
Support de présentation Atelier no.9
Au Sommet sur le développement durable, le 25 septembre 2015, les États membres de l'ONU ont adopté un nouveau programme de développement durable, qui comprend un ensemble de 17 objectifs mondiaux pour mettre fin à la pauvreté, lutter contre les inégalités et l'injustice, et faire face au changement climatique d'ici à 2030. Le nouveau programme de développement doit s'appliquer à tous les pays, promouvoir des sociétés pacifiques et ouvertes, créer de meilleurs emplois et relever les défis environnementaux de notre temps, notamment les changements climatiques.
Le dixième atelier de l'évaluation a eu lieu dans le cadre d'un événement plus large - les Journées du développement durable, organisées par l'Institut de la BEI et l'Université de Luxembourg. L'atelier a eu comme intervenants:
- Marc Bichler, Ambassadeur itinérant pour le changement climatique, Luxembourg;
- Marguy Kohnen, Ministère du développement durable, Luxembourg;
- Dr. Martin Noltze, DEval - Institut allemand pour l'évaluation de la coopération au développement, Bonn;
- Markus Hametner, Institut de recherche sur le management de la durabilité, Vienne.
Le Fonds européen pour les investissements stratégiques (EFSI) a pour objectif de surmonter les défaillances du marché en s'attaquant aux lacunes de celui-ci et en mobilisant des investissements privés. Il soutient les investissements stratégiques dans des domaines clés tels que les infrastructures, l'éducation, la recherche et l'innovation, ainsi que le financement à risque des petites entreprises.
L'atelier a été structuré autour de trois interventions :
- Nora Matei, Chargé des politiques, Commission européenne DG ECFIN, chargé d'évaluation de l'EFSI, Bruxelles ;
- Viorica Revenco, Economiste, Banque européenne d'investissements, Luxembourg ;
- Eurlalia Rubio, Chercheur principal, Institut Jacques Delors, expert en affaires européennes, Paris/Berlin.
En date du 21 janvier 2016, le processus participatif de l'étude stratégique "Troisième révolution industrielle" a été lancé. Initié par le ministère de l'Économie en collaboration avec la Chambre de Commerce et IMS Luxembourg, le processus de la "Troisième Révolution Industrielle" se caractérise par la transition vers un nouveau modèle économique défini notamment par le couplage des technologies de l'information, des énergies renouvelables et des réseaux de transport intelligents et d'en déduire une stratégie d'ensemble cohérente. L'objectif consiste à réaliser un plan d'action opérationnel suggérant des propositions et leviers d'actions concrets afin que le Luxembourg puisse entamer ce processus de longue haleine avec sérénité.
L'atelier a eu comme intervenants:
- Marc Wagener, Chambre de Commerce, Luxembourg - "Introduction : enjeux de la TIR au Luxembourg et principaux éléments de la réflexion prospective co-conduite par l'équipe de Jeremy Rifkin et le pays"
- Bertrand Zuindeau, Directeur de projet Mission Troisième Révolution Industrielle en Hauts de France - "Les enjeux de la mise en œuvre et du suivi des résultats de la TIR dans les Hauts de France"
Dans un monde en constante évolution, comment les organisations peuvent-elles être plus efficaces, plus équitables ou plus...
Sandwich lunch workshop
Understanding conflict- and climate-related drivers of migration
and forced...
Avis en cours de publication - Evaluation de 8 ONGD luxembourgeoises au Népal